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Mai
Mardi 11 décembre : visite d'une auteure à l'école : Céline Claire
Par Eric BAUMANN • Publié le 14/05/2019
Par Eric BAUMANN • Publié le 14/05/2019
Céline Claire, auteure de littérature de jeunesse est venue nous rendre visite à l'école pour nous expliquer son métier. Nous avions lu dans les différentes classes quelques uns de ces livres. Les enfants ont été passionnés par la découverte de ses histoires. Et ils en ont profité pour poser toutes les questions à Céline qui , parce qu'elle était aussi enseignante, c'est fait un plaisir d'y répondre.
Voici par exemple le résumé d'un de ses romans qui se télescope avec l'actualité.
L'Abri,
La tempête arrive, une vraie, de celles qui invitent les habitants à rester au chaud dans leur repère confortable. Mais qu’arrive-t-il à ceux qui n’ont nulle part où aller ? « Le vent est froid… En échange d’un peu de thé, pouvons-nous réchauffer nos mains à la flamme de votre feu ? » Grand Frère et Petit Frère cognent ainsi à la porte des maisons, mais on les repousse. Ce sont des étrangers, des différents, qui veulent sans doute prendre notre maison, nos provisions, nos vêtements. Sujet chaud s’il en est un que celui de cet autre qui fuit pour mieux vivre, puis de l’accueil qu’on lui réserve. En ces temps de misère humaine, d’intolérance, d’incompréhension, L’abri frappe là où il faut, avec classe et beaucoup d’espérance. Les dialogues brefs témoignent de la froideur des habitants et alternent avec une narration tout aussi courte qui laisse place à l’essentiel. La peur de l’autre est palpable tout comme la résilience et la force des exclus.
Voici par exemple le résumé d'un de ses romans qui se télescope avec l'actualité.
L'Abri,
La tempête arrive, une vraie, de celles qui invitent les habitants à rester au chaud dans leur repère confortable. Mais qu’arrive-t-il à ceux qui n’ont nulle part où aller ? « Le vent est froid… En échange d’un peu de thé, pouvons-nous réchauffer nos mains à la flamme de votre feu ? » Grand Frère et Petit Frère cognent ainsi à la porte des maisons, mais on les repousse. Ce sont des étrangers, des différents, qui veulent sans doute prendre notre maison, nos provisions, nos vêtements. Sujet chaud s’il en est un que celui de cet autre qui fuit pour mieux vivre, puis de l’accueil qu’on lui réserve. En ces temps de misère humaine, d’intolérance, d’incompréhension, L’abri frappe là où il faut, avec classe et beaucoup d’espérance. Les dialogues brefs témoignent de la froideur des habitants et alternent avec une narration tout aussi courte qui laisse place à l’essentiel. La peur de l’autre est palpable tout comme la résilience et la force des exclus.
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